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Annick Mauriange ⚡
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December 31, 2024
𝗥𝗲́𝘁𝗿𝗼 𝟮𝟬𝟮𝟰 : 𝗨𝗻𝗲 𝗮𝗻𝗻𝗲́𝗲 𝗱𝗲 𝗺𝗼𝗻𝘁𝗮𝗴𝗻𝗲𝘀 𝗿𝘂𝘀𝘀𝗲𝘀, 𝟭 𝗯𝘂𝗿𝗻𝗼𝘂𝘁, 𝟭𝟬𝟬𝟬 𝗿𝗲𝗺𝗶𝘀𝗲𝘀 𝗲𝗻 𝗾𝘂𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻… "La marche est trop haute pour toi." Voilà comment mon année a commencé. Après des années dans la relation client – comme conseillère, coach et formatrice – ma hiérarchie remet en question mes compétences. Pour quelqu’un avec un syndrome de l’imposteur, ces mots sont un coup de massue. Je sombre dans des montagnes russes émotionnelles. Je décide de revoir mon avenir. Mes lectures inspirantes m’aident à retrouver un peu d’énergie. Je fais un plan : rester cinq ans en poste, épargner, et partir avec un bon pécule. Mais la fatigue morale et physique me rattrape. Après deux ans à 200 %, mon corps lâche. • Mi-temps thérapeutique. • Un mois d’arrêt complet en juillet. Pendant ce temps, je réfléchis. Je me plonge dans l’entrepreneuriat : contenus gratuits, vidéos, webinaires. Je dévore tout. C’est là que je décide : pas cinq ans. Pas d’attente. Je vais lancer mon projet. En septembre, je demande une rupture conventionnelle pour janvier. Elle est acceptée immédiatement. Je jongle entre : • Mon travail salarié où je continue à donner le meilleur. • La construction de mon projet, soir et week-end. Mais en octobre, je retombe : maladies, épuisement, mon corps dit stop encore une fois. Je décide d’écouter mon corps. • Je travaille quand j’en ai l’énergie. • J’adopte des habitudes saines : moins de sucre, plus de marche. • Je me ressource avec des BO motivantes (Dune, Man of Steel, Gladiator). Petit à petit, je remonte la pente. Je suis en forme. • Je marche régulièrement. • Je reprends de l’avance sur LinkedIn. • J’ai rencontré des développeurs et validé mon projet par une étude de marché. D’ici un mois, je démarre officiellement mon activité. Et j’ai hâte. Les remarques de ma hiérarchie m’ont brisée au début. Mais avec le recul, elles m’ont poussée à me reconstruire, à reprendre confiance et à créer un projet qui me ressemble. 2025 sera l’année où je me lance sans filet. Pas de plan B. Pas de retour en arrière. Je brûle mes navires. Les livres qui m'ont inspirée : • “Forcez votre Destin”, d’Anthony Bourbon ⚔️ • “Entreprendre pour être Libre”, d’Éric Larchevêque • “Le Mindset du Succès”, de Lewis Howes • “Solopreneur” de Tony Neves • “L’Echec c’est de l’Entraînement” de Michel Khoury • “Réfléchissez et Devenez Riche” de Napoleon Hill Les ateliers offerts : • “5 étapes pour faire décoller ton activité d’indépendant” de Timothée Peyre - Business Coach • “5 étapes pour créer et vendre une offre rentable” d’Anthony Adda 🔥 Les formations LinkedIn : • La Formation “LinkedIn Mush Creator” d’Hugo Gedio 🍄 • La Formation LinkedIn Academy de Kevin Will Et pour démarrer sur des fondations hyper solides : • L’accompagnement à la création d’entreprise de Lucille Misslin , qui démarre dans 2 semaines (trop hâte). Aaaaaah. L’énergie remonte bien, là. Et toi, elle était comment ton année ? Raconte 👇
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December 31, 2024
Un site sans cahier des charges, c’est… (Une catastrophe assurée) ↴ "Pas besoin de cahier des charges, donnez-moi un prix !" Ah, ce grand classique. Tu bosses dans la tech ? Alors, tu l’as déjà vécu. Client : "Pouvez-vous me deviser un site ?" Toi : "Oui, rédigeons un cahier des charges." Client : "Pas besoin, donnez-moi un prix d’abord." Toi : "Mais pour calculer le prix, il faut un cahier des charges." Client : "Pas besoin, donnez-moi un prix d’abord." (Boucle infinie façon Inception : activée.) Merci à Les clients pour ce visuel qui capture parfaitement l’absurdité de ces discussions. 3 croyances erronées sur le devis d’un site web… → Le client veut une réponse simple à une question complexe. → Il pense qu’un cahier des charges = perte de temps et d'argent. → Il imagine un site web comme une pizza avec un prix unique. ❌ Spoiler : un site web, ce n’est PAS une pizza. Comment lui faire accepter un cahier des charges ? Lui parler en termes de valeur, pas de process. → "Sans cahier des charges, impossible d’avoir un prix juste." Le rassurer sur le timing. → "On ne rédige pas un roman, juste clarifier ensemble ce qui est important pour toi." Lui montrer les risques d’un devis à l’aveugle. → "Un prix donné au hasard = des surprises (et pas des bonnes)." Modèle de réponse à copier-coller : Objet : Estimation de ton projet Hello [Nom], Merci pour ta demande ! Pour te donner un prix précis, j’ai besoin de comprendre ce que tu attends exactement du site. Est-ce qu’on part sur une vitrine simple ? Une plateforme avec des fonctionnalités spécifiques ? Un e-commerce ? Je te propose de poser ça en quelques points pour cadrer : 1. Objectif du site 2. Nombre de pages 3. Fonctionnalités spécifiques (formulaire, paiement, blog...) 4. Exemple de sites que tu aimes Dès qu’on a ça, je pourrai te donner une estimation qui tient la route. Ça te va ? À dispo, [Ton prénom] 🔥 Dis-moi en commentaire : quelle est TA pire demande de devis ?
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March 19, 2025
“Tu peux juste changer la couleur ?” La phrase qui flingue ta marge Et que t’as entendu 100 fois ↴ Dans tous les entretiens que j’ai eus avec des freelances ces 6 derniers mois, une histoire revient souvent : Le client qui demande une “petite modif” après la livraison, l’air de rien. Mais derrière ce “petit détail” : → tu rouvres le fichier source (quand il existe encore) → tu vérifies les déclinaisons, les impacts visuels → tu modifies les exports, le code, les intégrations → tu refais les tests, tu renvoies la nouvelle version Tout ça pour une “modif minime”. Ce qui est minime dans la tête du client… ...peut représenter 𝟭 𝗮̀ 𝟯𝗵 𝗱𝗲 𝘁𝗮𝗳 (minimum) dans ta réalité. Et souvent, la question arrive 𝗮𝗽𝗿𝗲̀𝘀 𝗹𝗮 𝗹𝗶𝘃𝗿𝗮𝗶𝘀𝗼𝗻, une fois que tout est validé, terminé, envoyé, rangé. Ce genre de demande, si tu ne poses pas de cadre clair dès le début, tu te retrouves à : → hésiter → culpabiliser → céder → et finir par bâcler ou râler Pas terrible pour la relation, ni pour ta marge. Voici comment éviter ça (et rester pro du début à la fin). → Dès l’onboarding, liste ce qui est 𝗶𝗻𝗰𝗹𝘂𝘀 dans ta prestation (nombre de modifications, type de retouches). → Ajoute ce qui 𝗻’𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗮𝘀 𝗶𝗻𝗰𝗹𝘂𝘀 (retravail du concept, modifications après validation finale, etc). → Précise ce qu’une demande hors cadre implique : nouveau délai, nouveau coût, nouveau devis si besoin. → Documente-le dans ton devis ou ton contrat. Un truc simple, pas un roman. Mais lisible. → Et surtout : respecte ton propre cadre. Si tu fais des exceptions, préviens, pose une limite, garde une trace. Et si un client revient vers toi avec une demande hors périmètre, tu peux répondre sans te justifier pendant 15 lignes. Exemple : Hello [Prénom], Merci pour ton message. La prestation que tu as validée incluait [X] aller-retours sur [élément livré]. Cette nouvelle demande implique une relance du projet (fichiers sources, revalidation, etc.). Je peux te proposer ça avec un supplément de [XX €], pour une livraison d’ici [date]. Dis-moi si tu veux qu’on parte là-dessus ! Je reste disponible pour en discuter. Excellente journée à toi, [Signature] Ce n’est ni sec, ni agressif. C’est pro, cadré, respectueux. Et si tu poses ce genre de limite dès l’entrée en matière, tu verras que les demandes de “juste un petit truc” deviennent nettement plus rares. À toi de jouer. Si tu veux que ton client respecte ton travail, commence par montrer que 𝘁𝘂 𝗹𝗲 𝗿𝗲𝘀𝗽𝗲𝗰𝘁𝗲𝘀 𝗮𝘂𝘀𝘀𝗶. Balance-moi ta pire galère client en DM. La plus WTF gagne une mention spéciale dans un futur post.
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April 11, 2025
Top 5 des phrases de merde que les freelances en ont marre d'entendre. (Et comment y survivre) ↴ On les a tous déjà entendues... Et à chaque fois, c'est le malaise assuré. Le problème ? Un manque de respect (volontaire ou pas) pour notre travail. La solution ? Poser des limites, sans braquer le client. Allez, enjoy. 1. "On peut rajouter un petit truc vite fait ?" → Ce que ça cache : Le client pense que c'est anodin. → À faire : Expliquer que toute modif' a un coût. → Réponse pro : "Bonne idée ! Je regarde l’impact sur le délai et le budget, et je te fais un retour avant d’avancer." 2. "C’est urgent, tu peux me faire ça pour demain ?" → Ce que ça cache : Mauvaise organisation du client, pression sur toi. → À faire : Facturer l’urgence et clarifier tes délais. → Réponse pro : "Si c’est possible, je peux prioriser avec un supplément express. Sinon, on cale ça pour [prochaine dispo raisonnable]." 3. "J’ai demandé à ma femme/mon cousin/mon pote ce qu’il en pense…" → Ce que ça cache : Remise en question tardive du projet. → À faire : Recadrer en restant pro. → Réponse pro : "Les avis extérieurs sont utiles, mais pour avancer, on garde le cap sur les besoins définis ensemble." 4. "On ne va pas signer de contrat, mais t’inquiète, on est carrés sur les paiements." → Ce que ça cache : Une volonté d’éviter tout engagement (et un risque d’impayé). → À faire : Exiger un contrat, point final. → Réponse pro : "Justement, un contrat nous protège tous les deux. C'est rapide à signer et ça évite les malentendus." 5. "J’ai montré ton devis à un autre freelance, et il m’a dit qu’il pouvait le faire moins cher." → Ce que ça cache : Tentative de négociation douteuse. → À faire : Affirmer ta valeur sans surenchère. → Réponse pro : "Chacun a sa façon de travailler. Mon tarif inclut [expertise, suivi, qualité], à toi de voir ce qui est prioritaire." 💀 Mention spéciale : "Écoute, j’ai pas le budget mais je te ferai de la pub." → Ce que ça cache : Une demande de travail gratuit déguisée. → À faire : Refuser sans culpabiliser. → Réponse pro : "Je comprends, mais je réserve mon temps aux projets rémunérés. On peut en reparler quand ce sera le cas !" On ne peut pas empêcher ces phrases d’exister, mais on peut apprendre à y répondre. Quelle est la pire phrase qu’un client t’a dite ? Raconte en commentaire !
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March 14, 2025
Tu veux un vrai feedback ? Alors arrête de poser des questions inutiles. Voilà ce qu’il faut vraiment demander. ↴ Un formulaire de feedback mal construit, c’est comme interroger un témoin amnésique. Tu poses plein de questions... pour ne rien apprendre d’utile. Quand tu crées un formulaire de feedback, le piège, c’est de croire que "plus il y a de questions, mieux c’est". En réalité, il te faut surtout les bonnes questions, celles qui te donnent des réponses utiles pour avancer. Voici ce que je recommande : → Satisfaction générale (échelle de 1 à 5) → Points forts identifiés (question ouverte) → Points d'amélioration (question ouverte) → Propension à recommander (échelle de 0 à 10) Chaque question est posée pour une raison précise : mesurer l’expérience vécue, détecter des leviers de fidélisation, ajuster ton discours, évaluer ton potentiel de bouche-à-oreille. Ce n’est pas du blabla. C’est du vécu. Quand j'étais conseillère, j'ai travaillé dans deux types de boîtes. La première proposait un feedback ultra rapide juste après l’échange : "Appuyez sur telle touche si vous êtes satisfait, telle autre si vous ne l’êtes pas." Résultat : des retours en direct, des actions concrètes, des clients écoutés. La deuxième, à l’inverse, faisait remplir des verbatims papier. Les réponses mettaient des semaines à être traitées. Et au fond... elles n’étaient jamais utilisées pour corriger les vrais problèmes. On offrait des remises et des cadeaux pour calmer les clients, mais on ne réparait rien. Moralité : → Un bon formulaire, ce n’est pas un rituel marketing. → C’est un levier pour piloter ton expérience client et ton amélioration continue. Si tu demandes un feedback, pose les bonnes questions. Sinon, tu ne sauras jamais vraiment ce que pensent tes clients. On met tout ça en place pendant le Sprint Fidélité. 2 places dispo en mai, offre de lancement valable jusqu’à demain ! Tu veux un feedback qui te sert vraiment ? → Découvre le Sprint ici : https://taap.it/I8D5O4 Et toi, tu leur demande quoi à tes clients ?
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April 29, 2025
J’ai dit un truc hier... Et certains ont exprimé des doutes. Alors je clarifie ↴ Hier soir, j’ai teasé une nouvelle offre. J’ai expliqué ce qui avait changé dans ma manière de faire. Et j’ai reçu des commentaires du genre : → "Là, je doute un peu..." → "Hâte d’en savoir plus sur ce changement de stratégie !" C’est là que j’ai compris que ce n’était pas clair. Ce qui, pour une experte en relation client… est un peu cocasse, quand même. Alors je vais clarifier. Non, je ne change pas de cap. Je ne laisse pas tomber la relation client. Je remonte simplement à la source. Depuis 15 ans, j’ai vu ce qui coince côté client... et ça même sur des supports écrits : → Des explications floues → Des discours trop techniques → Des offres incompréhensibles Même quand la prestation est excellente. Et aujourd’hui, je retrouve les mêmes freins : → Dans certains profils LinkedIn → Dans certains posts → Dans les premières prises de contact Alors j’ai écouté. Mes clients, mes prospects, ceux que j’accompagne déjà... Tous ceux qui galèrent à être compris... avant même le premier call. J’ai pris le temps de creuser, de tester, de cadrer. Je ne lance pas une offre au hasard. (Ça serait un comble ! Et je connais quelqu'un qui ne serait pas contente du tout du tout.) Je ne suis pas coach LinkedIn. Je ne vends pas du reach de fou ou des montagnes de leads par post... Je suis experte en relation client. Et je veux que la tienne commence bien… dès ton profil LinkedIn. Je conçois une nouvelle offre pour ça : ✓ Clarifier ton message ✓ Rendre ton profil lisible et orienté client ✓ Poser les bases de la relation dès la première impression → J'en parle très bientôt.
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June 10, 2025